poème (de moi)

Hum...Bon, c'est la toute première fois que je poste (je suis nouveau)! Je suis très excité.

Mais bon, passons au choses sérieuses. Tout d'abord, je tient juste à vous avertir que je débute! (aussi, je n'ai que 14 ans, alors, s'il vous plaît, soyez indulgents) Je voulais savoir si j'ai démarré du bon pied. N'hésitez pas à dire vos impressions!

*s'éclaircit la gorge*


Mon peu d’espoir s’envola,

Le goût de l’amertume m’envahit,

Car mon bonheur ne fut que pris,

Avant même que tu me quittas,


Ce fut le début de la solitude,

Malgré ta présence près de moi,

Car avant que le mystère de ton l’amour ne s’élude,

Je me contentais de rester coi,



Ton regard m’avais assujetti,

Telle une douce utopie,

Ce ne fut qu’obsession et tourments,

Lorsque je découvris ton amant,



Maintenant et avec regret,

Je ne suis plus ce que j’étais,

En ta calme absence,

Je n’ai que dépéris.


Merci à tous d'avoir lu!

CrazyMadMan.

Heureux de voir que les mioches ne savent pas faire que des fautes d'orthographe. Au moins tu remontes un peu la réputation des jeunes adolescents avec ton poème.

Après pour mon avis, c'est pas mal... Dommage que ce soit un truc triste quoi... Si ça commence comme ça à 14 ans, j'ose imaginer la suite.

Bon mon opinion ne vaut pas grand chose, je suis en guerre permanente avec la poésie... Alors faudra pas compter sur moi pour obtenir un point de vue constructif...

Mais merci de partager avec nous ton œuvre.

Ça, ça fait plaisir! (surtout à mon égo). Mais bon, merci beaucoup pour le commentaire! Sinon, pour l'orthographe des plus jeunes, c'est, selon moi, rien qu'une (très) mauvaise habitude. On pourrai accuser une pléthore de causes, mais ceci est un autre débat.
Pour ce qui a attrait à la mélancolie dans ce poème, et bien...c'est ce qui m'est venu en tête, tout simplement.

En tout cas, merci d'avoir pris la peine d'avoir répondu!

CrazyMadMan

c'est tout zolie tout ça

Et bien, merci beaucoup! Mais, honnêtement, je ne m'attendais pas à recevoir des commentaires aussi positifs!

A quand la suite ? J'espère voir tout un recueil de posté sur ce forum d'ici Noël !

Ah non! Quelle pression! Il faut dire que le délais est court...
En tout cas, merci de ton attention, et c'est fort probable que je continue! Mais c'est pas tout à fait sûr...

Merci beaucoup!

Voilà! Sur commande, une petite "suite" au poème précédent!
Soyez indulgents, mais n'hésitez pas une seconde à commenter!

Attente

Pendant longtemps, je ne fus qu’épris,

Mais mon ivresse ne fit qu’attendre,

Car, las de tes duperies,

Tu ne pouvais que patienter que je rampe,


Aigrit par la douleur,

Je ne pu qu’attendre ta confession,

Moi qui croyais être ton âme sœur,

Que nous nous aimions,


Tandis que ma souffrance m’envahit,

Tu étais si bien nantie,

Dans les bras de cet amant,

Je ne pouvais pénétrer dans ton éden.


Fini! Merci beaucoup pour tous ces commentaires si positifs.

Triple post! Mais j'ai une bonne raison: un nouveau poème! Oui! Comme les deux précédents, il relate la même "histoire", si je puis dire. Alors, n'hésitez pas, commentez!

Éreinté par l’aigreur de ton cœur,

Je ne puis rester à tes côtés,

Défait par tes infâmes mœurs,

Tandis que tu batifoles avec l’être tant aimé,


Lors du doux et dernier baiser,

Je n’ai ressenti que l’abattement,

De t’avoir perdu, pour l’éternité,

Pendant que tu cajole ton doucereux amant,


Sans reconnaissance ni pitié,

S’envole l’espoir de te retrouver,

Alors, je m’enferme dans ma déperdition,

Ainsi je pars, rempli de mauvaises intentions,


Aigri par la sourde douleur,

Obnubilé par la futile colère,

Je ne puis rester, je me meurs,

Pris dans une immonde rancœur.

Voilà! Fini! J'espère que vous avez apprécié, et au plaisir de réécrire pour vous.
Merci.

est il destiné pour qq de particulier ?

Non, pas du tout. Certains, fait il y a quelques mois, étaient dédiés à des personnes, mais pas question que je publie ces horreurs ()! Sinon, merci d'avoir pris la peine de lire.

L'infini des cieux azurs se dessinant devant moi,

Il y avait, certes, un paysage de rêve,

Aussi majestueux que les passants restaient coi,

Pris de béatitude devant les riches immeubles Hélènes,


Imbu de cette blancheur immaculée,

Ces visiteurs ne savaient pas ce qui les guettait,

Car, enivré par cette beauté,

Ils pourraient désirer rester dans la cité à jamais,


Les habitants, accommodés, marchaient d'un pas las,

Sous le soleil illuminé des Filles de la Mer,

Ainsi que guidé par Artémis la chaste,

Dans les labyrinthiques ruelles de leur cité si chère.

Fini! (pour l'instant...)

Nouveaux poème, nouvelle histoire!
Qu'en pensez-vous? (pour un petit jeunet de 14 ans...)

Merci encore, CMM.

Suite!

Une fois sous les dômes de l'antique cité,

Marchant sur les dalles blanchies par le soleil,

Les visiteurs marchaient, impressionnés,

Dans une ville tant en éveil,


À la fois subjugué par les motifs complexes,

Leurs yeux embrassaient de si riches détails,

Que les passants les regardaient, perplexes,

Par tant de couleurs, si belles,


Devant nous se dressait un imposant palais,

Dont les murs étaient parsemés de luxuriantes plantes,

Parcourant les façades, mélangées, tel dans un ballet,

Croulantes sous tant de richesse.

Et voilà!
CMM.

Toujours des œuvres aussi intéressantes à lire ! Mes félicitations à toi CMM (c'est vrai que c'est plus court comme ça. )


Continues de nous émerveiller.

Merci beaucoup! (il me faudra réapprendre la modestie, sinon je finirai par prendre la grosse tête) Et, oui, c'est beaucoup plus court CMM .

Cela me fait plaisir!
CMM

HAHA! Non, il n'est pas question que je finisse mon poste comme ça!
Je fais une suite, et fissa:

Parcourant avec crainte les rues achalandées,

Nous passâmes avec hâte le quartier Artisan,

Car, étant aussi bondé,

Nous ne voulions pas nous faire escroquer par un marchand,


Gardant près de nous nos maigrelettes bourses,

Nous découvrîmes alors un autre aspect de la métropole,

Car, filant au pas de course,

Il y avait voleurs et commerçants frauduleux,


Malgré tout, nous avons apprécié notre passage dans le quartier,

Car il était parfois bien de s'imprégner de cette ambiance,

Cette ambiance lourde mais agréable que nous avons tous aimé,

Après un long voyage, éreintés, mais surtout ennuyé,


Car la morne campagne ne fut, pendant ces deux lunes, point notre allié.

Arg! Trop de rimes en Er/é! Ce n'était pas volontaire!

Mais bon, c'est ce qui arrive quand on fait vite!

Merci encore, CMM

Double post .
Hum.

Ce n'est que lorsque le soleil atteignit son paroxysme,

Que, nerveux, nous atteignîmes l'Arche du Désespoir,

Fuyant les dédales de la basse-ville, fourmillant de truandisme,

Et apercevant ainsi l'Évros ruisselant, brillant tel un miroir,


D'autres passants se joignaient à nous,

Marchant parfois d'un pas lent, parfois d'un pas vif,

Et, malgré tant de richesse, ignoraient les mendiants des alentours, sans le sous,

Parfois semblant accablés, restant immobiles, presque inerte, tel un amas de récifs,


Malgré tout, nous vîmes enfin notre but,

Car, fière et droite, se dressait la demeure de notre bon seigneur,

Et que nous aperçûmes, tel sages éternels, les torches fourbues,

Ainsi que les dalles colorées, pourtant uniques en regardant l'immaculé,


Ainsi nous pourrions enfin redevenir Messagers,

Car, inconnus, nous avions l'air de coupe-jarrets,

Ayant tuniques décousues et surtout sandales déchirées,

Nos cheveux, loin du propre et du beau, étaient recouverts d'épaisse poussière.


Voilà! Peut-être que vous venez d'en apprendre un peu plus sur l'histoire!...Ou peut-être que je ne suis pas assez explicite.

Dans tous les cas, merci d'avoir lu!
CMM